Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC)

Thérapies

Comportementales et Cognitives

 

   Les Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC) sont un éventail de différentes approches thérapeutiques. Elles sont basées sur la psychoéducation : on délivre à la personne un certain nombre d'informations sur son problème et sur la thérapie.

 

   Les Thérapies Comportementales et Cognitives sont fondées sur l’apprentissage de nouveaux comportements, à partir de l’élaboration de pensées plus adéquates : il s’agit de réussir demain, ce dont on se croit incapable aujourd’hui et que, de ce fait, on a raté hier. La pratique repose en partie sur l’analyse fonctionnelle du problème, avec la mise à jour des déclencheurs, des monologues intérieurs y afférant, des croyances... Puis sur l’élaboration d’objectifs, qui consistent essentiellement en un certain nombre de tâches précises à accomplir, afin de  mettre en place ces expériences comportementales. Dans ce plan d'action, une exposition graduée, prolongée, répétée et variée peut-être proposée. Ainsi, dans une situation qui engendre de l'anxiété, le but est de modifier les réponses de peur et d'évitement. A force d'exposition, une habituation émotionnelle doit se mettre en place puis une extinction des comportements d'évitement.

 

   Phobies et Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) sont le champs actuellement le plus connu des Thérapies Comportementales, de même que les phobies sociales qui entraînent certains troubles tels que trac, tremblements, sueurs... Associées aux Thérapies Cognitives, elles agissent aussi sur les dépendances comme la boulimie, le tabagisme, l’alcoolisme...

Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC)

Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC)

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   Les Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC) sont un éventail de différentes approches thérapeutiques. Elles sont basées sur la psychoéducation : on délivre à la personne un certain nombre d'informations sur son problème et sur la thérapie.

 

   Les Thérapies Comportementales et Cognitives sont fondées sur l’apprentissage de nouveaux comportements, à partir de l’élaboration de pensées plus adéquates : il s’agit de réussir demain, ce dont on se croit incapable aujourd’hui et que, de ce fait, on a raté hier. La pratique repose en partie sur l’analyse fonctionnelle du problème, avec la mise à jour des déclencheurs, des monologues intérieurs y afférant, des croyances... Puis sur l’élaboration d’objectifs, qui consistent essentiellement en un certain nombre de tâches précises à accomplir, afin de  mettre en place ces expériences comportementales. Dans ce plan d'action, une exposition graduée, prolongée, répétée et variée peut-être proposée. Ainsi, dans une situation qui engendre de l'anxiété, le but est de modifier les réponses de peur et d'évitement. A force d'exposition, une habituation émotionnelle doit se mettre en place puis une extinction des comportements d'évitement.

 

   Phobies et Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) sont le champs actuellement le plus connu des Thérapies Comportementales, de même que les phobies sociales qui entraînent certains troubles tels que trac, tremblements, sueurs... Associées aux Thérapies Cognitives, elles agissent aussi sur les dépendances comme la boulimie, le tabagisme, l’alcoolisme...

Historique

 

 

   Les premiers essais sur les Thérapies Comportementales ont été publiés en 1913, par Watson, qui défend l’idée du "Behaviorisme" selon laquelle la psychologie devrait se centrer sur l’étude des comportements. Dans les années 1950, Pavlov et Skinner ont suivi ce courant. Les Thérapies Cognitives quant à elles, ont été développées dans les années 60, par Alber Ellis et Aaron Beck.


   Les Thérapies Comportementales et Cognitives ont connu 3 vagues successives de développement qui se sont combinées pour former les TCC d'aujourd'hui.

 

   La première vague comportementale a donc démarré dans les années 1950 avec les Behavioristes Pavlov (médecin et physiologiste) et Skinner (psychologue). Les comportementalistes cherchent à décrire et comprendre les comportements humains en ne prenant en compte que ce qui est observable sans ouvrir la "boîte noire" (l'inconscient). Les comportements qui font souffrir ont été appris et peuvent donc se désapprendre, c'est le fondement du courant Behavioriste.

 

   Une seconde vague dite "révolution cognitiviste" s'est amorcée dans les années 1970, avec le psychologue Albert Ellis et le psychiatre Aaron Beck. Les chercheurs s'intéressent à la manière dont les pensées influencent le comportement et les émotions. Ils étudient le traitement de l'information par le cerveau. Selon les cognitivistes, les pensées sont des interprétations de la réalité et non la réalité elle-même. Un trouble résulte d'une erreur dite distorsion dans le traitement de l'information. La restructuration cognitive propose de travailler ces schémas.

 

   A partir des années 1990, la troisième vague dite "émotionnelle" se préoccupe davantage des émotions. Le Mindfulness ou Pleine conscience appartient à cette mouvance qui préconise de diriger son attention sur le moment présent en acceptant ce qui vient sans jugement et sans attente pour permettre une distanciation avec ses pensées. Steven Hayes (psychologue clinicien) introduit la Thérapie d'Acceptation et d'Engagement (ACT) qui préconise de ne pas lutter contre ses émotions mais de leur faire une place en se dégageant de ses pensées.

Historique

 

 

   Les premiers essais sur les Thérapies Comportementales ont été publiés en 1913, par Watson, qui défend l’idée du "Behaviorisme" selon laquelle la psychologie devrait se centrer sur l’étude des comportements. Dans les années 1950, Pavlov et Skinner ont suivi ce courant. Les Thérapies Cognitives quant à elles, ont été développées dans les années 60, par Alber Ellis et Aaron Beck.


   Les Thérapies Comportementales et Cognitives ont connu 3 vagues successives de développement qui se sont combinées pour former les TCC d'aujourd'hui.

 

   La première vague comportementale a donc démarré dans les années 1950 avec les Behavioristes Pavlov (médecin et physiologiste) et Skinner (psychologue). Les comportementalistes cherchent à décrire et comprendre les comportements humains en ne prenant en compte que ce qui est observable sans ouvrir la "boîte noire" (l'inconscient). Les comportements qui font souffrir ont été appris et peuvent donc se désapprendre, c'est le fondement du courant Behavioriste.

 

   Une seconde vague dite "révolution cognitiviste" s'est amorcée dans les années 1970, avec le psychologue Albert Ellis et le psychiatre Aaron Beck. Les chercheurs s'intéressent à la manière dont les pensées influencent le comportement et les émotions. Ils étudient le traitement de l'information par le cerveau. Selon les cognitivistes, les pensées sont des interprétations de la réalité et non la réalité elle-même. Un trouble résulte d'une erreur dite distorsion dans le traitement de l'information. La restructuration cognitive propose de travailler ces schémas.

 

   A partir des années 1990, la troisième vague dite "émotionnelle" se préoccupe davantage des émotions. Le Mindfulness ou Pleine conscience appartient à cette mouvance qui préconise de diriger son attention sur le moment présent en acceptant ce qui vient sans jugement et sans attente pour permettre une distanciation avec ses pensées. Steven Hayes (psychologue clinicien) introduit la Thérapie d'Acceptation et d'Engagement (ACT) qui préconise de ne pas lutter contre ses émotions mais de leur faire une place en se dégageant de ses pensées.

Historique

 

 

   Les premiers essais sur les Thérapies Comportementales ont été publiés en 1913, par Watson, qui défend l’idée du "Behaviorisme" selon laquelle la psychologie devrait se centrer sur l’étude des comportements. Dans les années 1950, Pavlov et Skinner ont suivi ce courant. Les Thérapies Cognitives quant à elles, ont été développées dans les années 60, par Alber Ellis et Aaron Beck.


   Les Thérapies Comportementales et Cognitives ont connu 3 vagues successives de développement qui se sont combinées pour former les TCC d'aujourd'hui.

 

   La première vague comportementale a donc démarré dans les années 1950 avec les Behavioristes Pavlov (médecin et physiologiste) et Skinner (psychologue). Les comportementalistes cherchent à décrire et comprendre les comportements humains en ne prenant en compte que ce qui est observable sans ouvrir la "boîte noire" (l'inconscient). Les comportements qui font souffrir ont été appris et peuvent donc se désapprendre, c'est le fondement du courant Behavioriste.

 

   Une seconde vague dite "révolution cognitiviste" s'est amorcée dans les années 1970, avec le psychologue Albert Ellis et le psychiatre Aaron Beck. Les chercheurs s'intéressent à la manière dont les pensées influencent le comportement et les émotions. Ils étudient le traitement de l'information par le cerveau. Selon les cognitivistes, les pensées sont des interprétations de la réalité et non la réalité elle-même. Un trouble résulte d'une erreur dite distorsion dans le traitement de l'information. La restructuration cognitive propose de travailler ces schémas.

 

   A partir des années 1990, la troisième vague dite "émotionnelle" se préoccupe davantage des émotions. Le Mindfulness ou Pleine conscience appartient à cette mouvance qui préconise de diriger son attention sur le moment présent en acceptant ce qui vient sans jugement et sans attente pour permettre une distanciation avec ses pensées. Steven Hayes (psychologue clinicien) introduit la Thérapie d'Acceptation et d'Engagement (ACT) qui préconise de ne pas lutter contre ses émotions mais de leur faire une place en se dégageant de ses pensées.

Historique

 

 

   Les premiers essais sur les Thérapies Comportementales ont été publiés en 1913, par Watson, qui défend l’idée du "Behaviorisme" selon laquelle la psychologie devrait se centrer sur l’étude des comportements. Dans les années 1950, Pavlov et Skinner ont suivi ce courant. Les Thérapies Cognitives quant à elles, ont été développées dans les années 60, par Alber Ellis et Aaron Beck.


   Les Thérapies Comportementales et Cognitives ont connu 3 vagues successives de développement qui se sont combinées pour former les TCC d'aujourd'hui.

 

   La première vague comportementale a donc démarré dans les années 1950 avec les Behavioristes Pavlov (médecin et physiologiste) et Skinner (psychologue). Les comportementalistes cherchent à décrire et comprendre les comportements humains en ne prenant en compte que ce qui est observable sans ouvrir la "boîte noire" (l'inconscient). Les comportements qui font souffrir ont été appris et peuvent donc se désapprendre, c'est le fondement du courant Behavioriste.

 

   Une seconde vague dite "révolution cognitiviste" s'est amorcée dans les années 1970, avec le psychologue Albert Ellis et le psychiatre Aaron Beck. Les chercheurs s'intéressent à la manière dont les pensées influencent le comportement et les émotions. Ils étudient le traitement de l'information par le cerveau. Selon les cognitivistes, les pensées sont des interprétations de la réalité et non la réalité elle-même. Un trouble résulte d'une erreur dite distorsion dans le traitement de l'information. La restructuration cognitive propose de travailler ces schémas.

 

   A partir des années 1990, la troisième vague dite "émotionnelle" se préoccupe davantage des émotions. Le Mindfulness ou Pleine conscience appartient à cette mouvance qui préconise de diriger son attention sur le moment présent en acceptant ce qui vient sans jugement et sans attente pour permettre une distanciation avec ses pensées. Steven Hayes (psychologue clinicien) introduit la Thérapie d'Acceptation et d'Engagement (ACT) qui préconise de ne pas lutter contre ses émotions mais de leur faire une place en se dégageant de ses pensées.

www.sonia-piquet.fr

Les consultations ne remplacent ni un suivi médical, ni une psychothérapie longue et approfondie mais peuvent être complémentaires.

Elles se déroulent dans le cadre du code de déontologie de la profession, qui garantit le secret professionnel et le respect de la personne.

 

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